Aujourd’hui direction Capri ! Un rêve, un fantasme … Un point d’interrogation tellement on ne sait pas à quoi s’attendre!

On rêve de dolce vita comme sur les photos de Aaron Slims, on espère croiser Jackie Kennedy son foulard Pucci sur la tête, cachée derrière ses immenses lunettes noires, son panier à la main …

On sait bien que c’est impossible, on redoute les hordes de touristes mal sapés qui vont gâcher le rêve … Bref, j’ai abordé Capri sans vraiment savoir où j’allais mettre les pieds et si j’allais en tirer le bonheur que j’attendais !

Alors pour commencer, 24 heures à Capri, c’est totalement insuffisant pour connaître l’île.

On fait juste sa connaissance en 24 heures, on hume l’atmosphère, on se fait plaisir sur deux ou trois spots mais jamais on a le temps de tout voir!

On a donc fait l’impasse sur Anacapri pourtant réputée plus simple, plus authentique que sa grande soeur qui porte le nom de l’île.

On a opté pour un hôtel de luxe en plein coeur du village. On a déambulé dans les ruelles microscopiques, on a halluciné sur la fameuse piazetta du village qui est à peine plus grande que mon jardin, ici nous appellerions cela un patio mais passons !!!

On avait envie de profiter du soleil caprese, d’une plage privée faisant partie intégrante du mythe, de notre hôtel sublime et le lendemain avant de repartir, on s’est offert le luxe ultime d’un tour de l’île en bateau privé afin de profiter à fond de ce que cet endroit de rêve pouvait nous offrir et en partir des étoiles plein les yeux avec l’envie féroce de revenir très vite profiter de la dolce vita la plus authentique !!!

Bref à Capri, il faut se faire plaisir car c’est ainsi que vous profiterez pleinement du fantasme que cette île projette encore et toujours …